Helios commençait à attendre l'apogée, de sa course, il était bientôt l'heure de midi sur l'agora d'Halicarnasse la noble. Les citoyens commençait à se rassembler, les élections promise à l'entrée de l'hiver par le Tyran Denys. Le conseil des Anciens fut assez vite constitué, car les membres des différentes classes c'était mis d'accord assez rapidement, inspiré par la sage Athéna. L'aristocrate Cléomène en avait été élu le chef avec le soutien de l'aristocratie.
Il était maintenant, le temps d'élire sous la protection d'Athéna, pour laquelle avait été sacrifié un grand nombre de bêtes. Le tyran Denys, qui briguait le titre Grand Archonte, s'avançait maintenant vers l'estrade, prêt à affronter son adversaire, le jeune Antiloque. Un fils de l'aristocratie, un peu ambitieux. Les Archontes venait d'être désigné, Denys et son adversaire était deux de ceux qui avait été désigné par l'aristocratie.
Citoyens d'Halicarnasse, mes frères, dit-il, cela fait maintenant plus de dix ans que je dirige notre cité, avec le succès que vous me connaissez, même si ma prise de pouvoir n'était pas des plus honnête. Vous savez tous, que tout je désire, c'est le succès de notre cité, pour qu'elle devienne la plus puissante d'Asie Mineure, et ensuite de Grèce tout entière. Vous savez que c'est moi qui suit à l'origine de cet immense temple, qui orne maintenant notre acropole, symbole de notre puissance, vous savez que c'est moi qui ai permis ces élections, que c'est moi qui a garantit l'éducation de vos fils. Tout ce que je vous demande, c'est votre soutien, pour continuer cette oeuvre, avec notre flotte, notre armée, et le port qui doit être agrandit pour pouvoir prétendre au rang de grande cité. Je vous demande de me donner votre confiance, pour que pendant les trois ans de ce prochaine mandat, je puisse finir l'oeuvre que j'ai commencer il y a dix ans maintenant. Antiloque, je vous laisse la parole maintenant.
Le jeune homme, qui avait l'air d'être impressionné par ce grand discours avança alors. Prêt à découdre dans l'arène, pour un poste qu'il pourrait toujours exercé plus tard, en effet il était déjà grâce à son talent qui avait l'aide immense, archonte.
Denys, noble citoyen, tu prends pour toi l'atout de l'expérience, en effet tu gère notre cité, depuis maintenant plus de dix ans. Mais n'est-il pas temps alors de passer la main, à la jeune génération qui sera plus à même de mener grâce à la nouveauté de ces idées, notre cité à l'excellence. Ne crois-tu pas que nous sommes plus à même de réussir avec notre fougue et notre ambition, être capable de réussir cette entreprise. Tu dis que notre flotte et notre port doivent être améliorer, tu parle de notre armée, mais n'est-il pas vrai aussi qu'il faut se soucier d'autres choses qui peuvent être utile. Alors laisse nous mener avec nos idées, qui peuvent être révolutionnaire, mené à bien Halicarnasse vers la victoire, la jeunesse est un atout ne l'oublie pas nous ne sommes pas limité par une prudence exagéré, venant de cette expérience qui vous empêche de tenter l'audacieux. Si tu veux vraiment réussir à faire d'Halicarnasse une grande cité, il faut oser faire des choses audacieuses que votre expérience croirait perdu d'avance. J'ai maintenant fini, Citoyen, je vous laisse choisir.
Tout les citoyens, maintenant se pressait pour mettre une jeton portant le nom du candidat qu'il élisait. Pendant plus de quatre heures il défilèrent sous la protection d'Athéna et d'Hélios. Quand enfin tous était passé, les Anciens, à la sagesse immense s'avancèrent et comptèrent les jetons de terre. Les résultats tombèrent rapidement, la fouge avait perdu face à l'expérience, mais de très peu, Denys demeurait le dirigeant d'Halicarnasse, mais Antiloque, à l'intelligence rapide, était maintenant devenu un homme sur qui il devrait compter.
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Jeu 14 Avr - 17:41