La Grande Fête des Dieux d'Halicarnasse et un changement de régime politique

Le tyran Denys était entrain de terminer les derniers préparatifs de la grande fête qui allait suivre. Les premières voiles apparaissaient déjà dans le port où les premiers échafaudages annonçait le début des travaux d'agrandissements qu'avait fait commencer le Tyran, le Temple sur l'Acropole, brillait déjà de milles feux, ces imposantes colonnes dressait le fronton ,de tel sorte à ce que ce dernier soit entièrement visible depuis le port, montrant que la magnificence de la ville.


Quelques minutes plus tard, le Tyran était à l'entrée du port, accueillant avec déférence les délégation venu de la Grèce entière pour voir le fameux temple, qui était déjà réputé comme l'un des plus grands et des plus beau de Grèce. Les différentes délégations réunis, Denys les menant vers le palais, où il devait séjourné jusqu'à la fête prévu le lendemain. LEs conversations allait de bon train entre les différents tyrans et magistrats ainsi que leur suite.
A l'arrivée au palais, le Tyran fut rejoins par les membres du conseil des Législateurs, ainsi que par 20 des plus belles jeunes esclaves de la ville, qui couronnèrent les magistrats de lauriers, avant qu'il puisse pénétré dans le grand mégaron ou une cinquantaine de danseuses était entrain de montrèrent leur talents, jusqu'à ce que le repas puisse commencer, accompagné par des musiciens.


Lorsque que le repas commença, les danseuses cessèrent leurs activités, laissant les seules musiciens pendant quelques temps, avant que des acrobates pénètrent dans le mégaron accompagnant les sept immense plats de l'entrée, et distribuant le vin. A la suite de l'entrée, arrivée les poètes de la cour, qui déclamèrent pendant que le plat principal un boeuf rôti à la broche accompagné d'un assortiment de divers légumes. A la fin de ce dernier, ce fut le retour des danseuses, qui accompagnèrent de très nombreux gâteaux et galettes de fruits. Une fois que celui ci fut terminer, tout les acteurs ayant divertir les magistrats durant le dîner s'avancèrent pour continuer quelques temps. Avant qu'il prennent tous congés, pour ce reposer en vu de la grande fête du lendemain.



Le lendemain matin, à l'heure où Hélios commence à mener son char à travers les cieux, les différents dirigeants se rendirent au port, où un boeuf fut sacrifié en l'honneur de Poséidon par Denys, puis il traversèrent la ville où en onze autres endroits différents choisis pour leur signification les liant au dieux, onze autres sacrifices furent effectuer pour honorer les douzes dieux de l'Olympe. Puis la procession qui était composé en plus de Denys et des différents invités, de toutes les gens de la cité, les jeunes en tête suivant les prêtres eux mêmes précédé des invités.


Une fois que l'autel du temple fut atteint, Denys s'avança devant la foule. puis prononça le discours suivants :

O grands dieux de l'Olympe, ici devant le peuple d'Halicarnasse rassembler ainsi que devant les représentants de toute les cités grecques, j'offre ce temple, symbole de notre dévotion à votre égard. Acceptez notre humble offrande comme soumission à votre puissance avec ses cent boeufs que nous vous offrons également.


A ses mots une file de boeuf apparu venant du palais et un à un il furent tuer et immoler sur l'autel par Denys. Puis la procession prit le chemin d'un théatre improvisé où avait déjà été sacrifié des oiseaux en l'honneur de Dionysos, puis le concours de théâtre commença. Les différentes troupes se succédèrent et le triomphe de celle de Chios fut marqué, le chef de troupe reçu des mains de Denys une couronne de laurier, et la promesse d'être invité à l'inauguration du futur théâtre de la ville afin de pouvoir l'inaugurer par son talent et aussi d'admirer son nom qui sera honorer par les génération futurs.

Après avoir encore une fois féliciter ce vainqueur, Denys prit encore une fois la parole.


Mes frères, si j'ai encore prit la parole, c'est pour vous annoncez une décision très importante que j'ai décidé de prendre pour le bien de ma cité. A partir de maintenant, je remets le pouvoir à son peuple officiellement, j'y resterait jusqu'à que des élections puissent être organisé, pour mettre en place le système politique que j'ai cru bon lui donné. Si j'ai pris cette décision c'est parce que je pense qu'un jour où l'autre, il faudra que le peuple gouverne par lui même, car quand je ne serait plus là, il aura peut-être un dirigeant qui sera bien pire que moi, et c'est ce que je veux éviter, car mon seul souci et la gloire éternelle d'Halicarnasse et donc je veux lui permettre d'éviter d'avoir un dirigeant qui la conduirait à la ruine. Aussi je vous annonce que ce sont mes derniers mots en temps que tyran d'Halicarnasse, les prochains que je prononcerait seront en temps que simple citoyen, qui espère que le peuple lui donnera sa confiance.

Puis le Tyran descendit de l'estrade, avant de ramener les délégations au palais ou un second repas se déroulait alors qu'Hélios ramenait son char sur la terre et qu'il allait laissé la place à sa soeur Sénélé.