La lumière brillait de tout son nâcre à Héraclée, ville de toute la Grêce parmi les plus riches, et des plus grandes splendeurs. Le tyran d'Héraclée, le noble Dorocle de la dite ville, dont on avait dit toutes les manoeuvres de renforcement de la flotte et que de lui partait un bon commerce avec les cités environnantes, était majestueux et tout de blanc, comme le voulait le Dieu.
En haut de ses éternelles visites à l'Olympes, celui-ci se balançait bien plus magnifique que tous les dirigeants de la Grêce, autour de son sceptre magique le trident d'or. Il venait et partait comme tous le faisaient ou règnèrent les tytans et où le faisait à présent le roi des Dieux, Zeus. Mais à Héraclée, c'est Poséidon qui régnait. Il le savait.
Sa majesté embellissait la ville car le soleil, son coucher et sa beauté, c'est à lui qu'on le devait. Et il partit saluer du fracas des vagues contre la côte une construction qui l'honorait et qui témoignait de sa grandeur. Ce temple, c'est à lui qu'on le dédiait.