Au Temps des Diadoques
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Au Temps des Diadoques

Un temps où la guerre ravage le monde, Un temps où des hommes se déchirent pour le pouvoir, Un temps où des hommes luttent pour l'immortalité, mais aussi un temps de gloire et de triomphes, C'est le Temps des Diadoques
 
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 [G&C] Automne 1236 - L'Affrontement des Dieux

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Olympos
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Olympos


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MessageSujet: [G&C] Automne 1236 - L'Affrontement des Dieux   [G&C] Automne 1236 - L'Affrontement des Dieux EmptySam 1 Sep - 18:21

L'Affrontement des Dieux


En cet automne de grace ou de disgrace 1236 la guerre fit rage dans le monde Balte.

Ce fut d'abord en Prusse que les Chrétiens se démarquèrent. Après des semaines de repos et de préparation la croisade des Allemands repris avec une grande vivacité, malgré les départs remarqués de nobles de Pologne, dont le principale le Duc de Silésie Henri qui repartit en ses terres pour s'occuper avec attention des affaires de son duché.
C'est le sage et expérimenté frère Frederick Von Marklor, proche du maitre de Prusse Baalk qui nous laissa un temoignage des événements qui se déroulèrent en Prusse.



Cela faisait plusieurs nuits que l'estimé et talentueux Hermann ne dormait plus. En homme pieux et humble il n'avait de cesse de prier et plusieurs fois par jour on voyait le noble légat de nostre Saint Père entrer dans sa tente avec hate écouter les confessions et les prières de l'homme à qui fut confiée le lourde charge de conquerir, puis d'administrer la Prusse.
Malgré son succès écrasant en Pomésanie, en bon chrétien, Hermann resta humble devant ses hommes et devant le Seigneur. Il ne s'agissait pas pour lui de prendre à la légère cette tache que le Grand Maitre et le Christ lui avait confié. En homme minitieux il prépara d'une main les plans d'invasion de sa nouvelle cible, de l'autre il serait avec force une croix, esperant que le seigneur serait le guider. Externuer de toutes ces nuits où il ne parvint à trouver le sommeil, il s'agenouilla, implora la Vierge, puis s'effondra.

Ce fut l'un frère qui découvrit son corps inerte, mais encore en vie. Et durant plus de 4 jours le Maitre ne se reveilla point. Quand soudain le jour de la Toussaint ses yeux s'ouvrirent, et comme par miracle le Maitre retrouvit toute sa force immédiatement, il enfila son armure et sortit avec hate et ordonna le rassemblement des troupes. Tous furent surpris voyant de leurs yeux le Maitre en si grande forme. Dans ses yeux je pouvais lire alors la détermination, nulle doute qu'Hermann avait reçu un don de notre Seigneur. Et cela n'allait pas tarder à se confirmer...


Après quelques semaines tous les frères et hommes furent rassemblés et malgré l'absence de certains grands seigneurs, des hommes de tout horizon était présent des riches, des pauvres, et dans les rangs on pouvait entendre des Allemands, des Hongrois, des Polonais, tous présent pour se battre au nom du Christ, pour la plus sainte et la plus juste des causes.
C'est ainsi que le Maitre décida de porter la Parole dans le plus profond des terres de Pogésanie.
Une fois en terre paienne, Hermann me confiait, que durant sa somnolence la Vierge lui était apparue lui apportant la réponse pour vaincre avec efficacité les armées paiennes et faire triompher les écrits saints.

Il sembla rapidement clair que lorsque les forces paiennes firent face aux fiers armées chrétiennes, aux alentours du village que les Pogésaniens nomment Mergo, Dieu et la Vierge était aux cotés du Maitre. Car alors que le combat faisait rage et que le sang coulait à flot, je pouvais voir Hermann serein qui avançaient d'un pas déterminé vers le centre du combat, ses pas et ses gestes guidés par Dieu il assena un coup mortel au chef des Pogésaniens. Celui-ci s'effondra lamentablement, ne pouvant etre sauver par ses ignobles prières paiennes.
Face à cela les armées pogésanienne se débandèrent en tout sens, retournant dans les sombres forets desquelles elles étaient sorties.
Fort de cette victoire, Hermann s'empara sans difficulté de Mergo, puis mit le siège à Elbing, controllant l'arrière pays de la cité paienne. Malgré de nombreuses pertes, le moral des hommes ne fut en rien entamer, car chacun savait que le Seigneur les accompagnaient.


La victoire se dessine doncclairement une nouvelle fois en Prusse pour les Chrétiens
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MessageSujet: Re: [G&C] Automne 1236 - L'Affrontement des Dieux   [G&C] Automne 1236 - L'Affrontement des Dieux EmptySam 1 Sep - 18:22

ne fois encore se sont les dires d'un frère d'un autre ordre qui nous parviennent. Il s'agit du frère et homme de foi, le chapelain de l'Ordre des Chevaliers Porte-Glaives, Gunther Herstraussen. Celui suivit le Grand Maitre durant toute sa campagne, bien que n'étant un habile guerrier il préféra générallement la chaleur du camp que la froideur d'une lame.

Le Grand Maitre dans une sagesse certaine décida qu'il était à présent temps de faire triompher Dieu. La victoire de Riga n'était que le prélude à la victoire totale de l'Ordre que Dieu se préparait à donner à ses fidèles. C'est ainsi que pour agir avec une efficacité optimale le Grand Maitre, habile et terrible stratège décida de diviser ses forces afin de libérer au plus vite les places fortes de la chrétienté. D'un coté sous les ordres supreme de frère Luther von Riga les barons de Leal et Marienbourg avec les ost respectifs, de l'autre le Grand Maitre lui meme accompagné de son fidèle baron Berthold von Arensburg.

Alors que frère Luther marcha vers l'Est en direction de la place forte d'Ascherade, le Grand Maitre marcha lui vers le Sud en direction de Mitau. A chacun de leurs pas, les deux grands armées du royaume n'avaient de cesse de voir des hommes sortirent des bosquets.
Alors que le soleil rayonnait, je puis moi meme apercevoir des hommes sortir des bois au passage de l'armée, ces hommes pauvres sur eux disposaient en réalité du plus grand des trésors. En effet, bien qu'ils ne disposaient pas du moindre sou et que leurs vetments étaient crasseux et abimés ces hommes étaient riches. Ces hommes étaient des chrétiens, qui malgré l'abominable présence paienne avaient garder la foi et c'est cela la plus grande des richesses. Tous hommes, femmes et enfants avaient trouvés refuges dans les bois afin de pouvoir conserver leur vie et leur foi. A chaque pas des villages entiers sortaient de l'ombre, revenant dans la lumière, heureux de retrouver les fidèles du Christ.
Ce fut ainsi que sans qu'une goutte ne coula toutes les terres comprises en la Divna et la forteresse de Doblen revenir dans le giron du Seigneur et de la vrai foi.

En effet, les troupes du Grand Maitre approchèrent de la forteresse de Mitau en toute hate, pressées d'en découdre avec les paiens et de libérer les fidèles de leur entreinte. Mais lorsque nous arrivames sur les lieux nous découvrimes qu'un camp en ruine. Nul ame ne vivait en ses lieux, partout on pouvait voir en revanche les armes et boucliers que les paiens avaient abandonnés mais nul corps.
Lorsque nous approchames de la forteresse nous apprimes aux assiègers ce qui s'était passé et la disparition de paiens. Les fidèles frères nous appriment alors que la veil au soir le camp ennemi était encore en vie. Que pouvait-il donc s'etre passé en nuit pour qu'aucune trace de vie ne tienne ? Nul ne le sait. Mais il parait clair que notre Seigneur a venger l'ame de tous ses fidèles qui furent torturés par ces etre immondes.
La situation près d'Ascherade est à se qu'on m'en a rapporter assez semblable dans le sens où lorsque les forces du Grand Maitre parvinrent à la forteresse nul ennemi ne s'était une fois encore présenté à eux. Après concertation avec les forces présentes il s'avérait que face à l'arrivée triomphante des armées du Christ, les paiens décidèrent de prendre la fuite comprenant qu'ils ne pouvaient remporter la victoire face à la Croix et au Dieu unique.

Une fois l'autorité de l'Ordre retablit en ces terres, il fut décidé de poursuivre la route vers le Sud. Le Grand MAitre entreprit donc avec son armée cette marche, confiant en la victoire prochaine. Mais il semble que les voix du Seigneur restent impénétrable. C'est ainsi que le Grand Maitre ne rencontra aucune armée. En revanche, ses troupes furent sans cesse harcelées par des forces ennemis ne connaissant ni l'honneur, ni le combat chevalresque. Ce qui l'empecha de pousuivre sa route efficacement. Il en fut de meme pour frère Luther.

Ainsi l'avancée plus au Sud se fit très difficile pour les armées de l'Ordre. Pire encore on rapporte que la cité de Dunabourg est tombée au main des paiens. Du moins c'est ce que me rapporta un paien à l'agonie désireux de se repentir...


Ainsi l'Ordre reprend des forces et des terres sur l'ennemi. Il progresse fièrement, semblant ne pas connaitre la défaite. Toutefois, au Sud les Lithuaniens semblent bien installer, on rapporterait meme la chute de Dunabourg. Mais qu'en est-il des autres cités et forteresses et de Dunabourg elle meme ?..
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