Au Temps des Diadoques
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Au Temps des Diadoques

Un temps où la guerre ravage le monde, Un temps où des hommes se déchirent pour le pouvoir, Un temps où des hommes luttent pour l'immortalité, mais aussi un temps de gloire et de triomphes, C'est le Temps des Diadoques
 
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 [G&C] Ete 1236 - Guerre de Livonie

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Olympos
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MessageSujet: [G&C] Ete 1236 - Guerre de Livonie   [G&C] Ete 1236 - Guerre de Livonie EmptySam 1 Sep - 18:20

Le bouclier à la Croix et l'Epée

La guerre faisait rage en Livonie. Nombreuses étaient les villes et forteresses encerclées par les hordes lithuaniennes. Mindaugas, grand chef du peuple lithuanien jubilait. Sa y est il tenait sa revanche sur les chrétiens et il était à présent certain de sa victoire.
Il est vrai que tout semblait en défaveur des chrétiens et avec le temps cela ne semblait guère pouvoir s'arranger pour eux. La belle cité de Dunabourg était certainement dans la situation la plus desespérée, complètement cernée par les armées paiennes et la population locale qui a rejetter la foi chrétienne au profit des cultes paiens ancestraux.



La jour se levait à peine lorsque le comte Gunther von Dunabourg inspectait avec ses hommes les fortifications de sa cité. Jusqu'à perte de vue s'étendait devant ses yeux les tentes de milliers et de milliers de paiens qui ne revaient que d'une chose voir la croix bruler.
Les regardant du haut de ses puissants murs Gunther méprisa tous ces chiens qui ne revaient que de plaisirs malsaints. Il était décidé à ne pas laisser tomber sa cité, mais il savait que ses forces étaient des plus réduites et que son seul espoir residait en son Grand Maitre. Il regarda ses hommes, ses sujets, puis son regard se tourna vers la majestueuse cathédrale. Et le coeur contrit il implora Dieu de lui venir en aide, de chasser les paiens et d'épargner ses fidèles. Mais ses pensées et prières furent rapidement interrompues par le cris d'alerte de l'un des gardes. Les Lithuaniens étaient en mouvement ils préparaient une nouvelle attaque.

L'alerte donnée, toute la ville s'agita. Les archers sortirent de toutes part et s'alignèrent sur les murs; au sol vougiers et guerriers se tenaient près des portes; et en ville les civils courraient tous en masse, la plupart vers la cathédrale afin d'y trouver refuge. Les enfants pleuraient, les vieillards avançaient avec difficulé et les femmes serraient dans leurs mains tremblantes leurs chappelet implorant le Vierge et le Christ alors que les hommes s'armerènt comme ils pouvaient afin de venir en aide à la garnison et de sauver leurs familles.
A mesure que les Lithuniens se rapprochaient la tension elle montait dans la cité. Le comte Gunther sortit avec force l'épée de son fourreau et interpella ses hommes, leur rappelant leur devoir et ce pourquoi il se battait: leur foi, leur Dieu, leur vie, leur famille. Tous répondirent d'un puissant cris, la bataille était sur le point de commencer.

Ce furent d'abord les archers qui entamèrent le combat des deux cotés les flèches volées, transperçant les nuages et les corps. Le sang coulait, des hommes tombaient. Mais bientot la deuxième phase de l'assaut aller commencer. En effet, les Lithuaniens parvinrent à approcher dangereusement leurs échelles et leur belier. Derrière les portes les chrétiens tremblaient, attendant leur moment. Puis une échelle fut posée et une autre et encore un autre, bientot les infidèles envahiraient les murs; du haut des murailles les hommes jetaient avec force et hargne tout ce qui leur passé sous la main. Mais à force d'hommes et de persistance les Lithuaniens parvinrent en haut des murs alors que le belier lui s'appretait à atteindre la puissante porte de la cité. Puis voici que la porte se mit à trembler, à chacun des coups on pouvait entendre les Lithuaniens pousser des cris de rage et sentir le coeur des volontaires trembler.
Sur les murailles le comte se battait comme un lion. Mais l'ennemi était trop nombreux, débordé de toute part il prit un coups à l'épaule d'une telle violence qu'il tomba un genoux au sol. Homme valeureux et puissant combattant il parvint à parer les coups de son adversaires et à le toucher mortellement.
Le combat se poursuivit et malgré les conseils de ses officiers le comte, plein de valeur et de courage décida de rester au front au plus près de ses hommes.

C'est à la suite d'une lutte acharnée que les défenseurs parvinrent à tenir en échec les assaillants. C'est dans un cris plein d'espoir que le Comte Gunther cria sa joie et glorifia le nom de Dieu, puis d'un geste fort il leva du haut des murs son écu et tous purent voir la croix et l'épée, symbole de l'Ordre des Porte-Glaives.
Bien qu'il ne manifestait qu'une joie apparente, le comte savait bien que cette victoire ne serait que provisoire si il restait encore trop longtemp seul et isolé il ne pourrait tenir. Sans compter qu'au court de cette bataille il avait perdu nombre d'hommes braves et puissants...


Le cas de la cité de Dunabourg n'est pas isolé, nombreuses sont les cités et forteresses dans la meme situation. Cependant on rapporte qu'aucune n'est encore tombée mais que la situation devient de plus en plus critique et préoccupante. Malgré on raconte que la ville de Riga, grand symbole, est elle parvenue à se défaire de ses assaillants...
Il semble que ce n'est pas pour cette saison que Perkunas tiendra sa revanche...
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MessageSujet: Re: [G&C] Ete 1236 - Guerre de Livonie   [G&C] Ete 1236 - Guerre de Livonie EmptySam 1 Sep - 18:20

La Libération de Riga

Cela faisait trop longtemps que ces paiens encerclaient Riga, trop longtemps que ces etres infames insultaient le Dieu Incarné, Jesus Christ, par leur seul présence en ces terres. S'en était assez ! L'archeveque de Riga tenait la ville d'une main de fer depuis des semaines. Pas un seul paien n'était parvenu à franchir les portes de la plus grande cité chrétienne de Livonnie. Mais comme beaucoup le savait sans renforts venus de l'exterieure la ville aurait été condamnée. Mais meme si les voix du Seigneur sont impénétrable, celui-ci sait entendre les désirs de ses fidèles, surtout lorsqu'il s'agit d'une guerre juste et sainte.

C'est ainsi qu'en été 1536, la réponse massive des Chevaliers Portes-Glaive se fit entendre. Le Grand Maitre de l'Ordre était bien décider à libérer sa cité, symbole de la force de tout un territoire, symbole de la force de la foi chrétienne en des terres hostiles.
Rassemblant le gros de ses forces et ses frères les plus fidèles, le Grand Maitre se lança avec un ost de bonne taille dans la libération de Riga. L'arrivée des troupes de l'Ordre de l'autre coté la Daugava soulagea grandement l'archeveque Lothar qui attendait cela avec impatience, "Enfin les paiens allaient payer pour leurs méfaits ! pensa-t-il."

Lorsque les portes de Riga s'ouvrirent aux armées chrétiennes, c'est une population heureuse que le Grand Maitre trouva. Une population qui célébra leur arrivée avec une joie clair et manifeste. Escorté par deux régiments de fiers chevaliers, le Grand Maitre sourriait à la foule, dans leurs yeux il pouvait lire clairement l'espoir que représentait sa grande armée.
Mais l'heure n'était pas encore à la guerre mais à la célébration du Christ. La première destination du Grand Maitre fut la grande cathédrale où il y retrouva l'archeveque qui l'attendait avec impatience. Ensemble ils prièrent et dans la nuit ce fut toute une ville qui suppliait Dieu de leur offrir la victoire.
On dit que leurs prières furent tellement fortes que le commandant lithuanien en charge du siège de Riga trembla toute la nuit dans sa tente, terrorisait par la force de la foi des fidèles du Christ...


Lorsque le jour se leva, le Grand Maitre prepara son armure, aiguisa sa lame et donna ordre de rassembler les troupes. Toute la ville s'agita. Dans tous les sens des hommes en armes courraient d'une rue à l'autre. La réponse chrétienne n'allait pas tarder à frapper les forces lithuaniennes. L'effervescence était d'ailleurs la meme dans le camp lithuanien qui présentant l'action des chrétiens s'organisa en toute hate.
Lentement les portes de Riga s'ouvrirent. Puis suivant les ordres précédement donnés par le Grand Maitre, les nombreux archers et arbalétriers sortirent en courant de la ville, collant leurs dos aux puissants remparts de la cité. Puis les cavaliers et chevaliers lourdement équipés firent leur apparition se tenant en ligne. Entre eux vougiers, guerriers et hommes d'armes, autant d'hommes qui refroidirent l'ardèrent de bien des paiens.
On raconte en effet que face à l'ardeur et à la confiance que les chrétiens dégagés, nombreux furent les Lithuaniens qui prirent soudainement conscience de la puissance irrésistible du Christ et prirent la fuite, brulant ensuite leurs idoles. Mais les plus fermement décidés à poursuivre leurs insultes au Dieu unique restèrent eux pour combattre.

Inspiré par Saint Jacque lui meme, ditons, le Grand Maitre de son puissant bras droit leva une croix vers le ciel. Il hurla devant toutes ses troupes la gloire de Dieu et du Christ puis seul, une croix dans une main et une épée dans l'autre il chargea seul les hordes paiennes, les rayons du soleil se reflètant sur son armure resplendissante. Face à un tel courage, il fallut peu de temps pour que le Grand Maitre soit rejoint de centaines d'autres cavaliers et chevaliers, eux meme suivit par des centaines d'hommes en armes courant vers leur salut et se battant pour la plus juste des causes.
Lorsque soudain avec une violence sans pareilles la vague de cavaliers et de chevaliers percuta l'infanterie paienne de plein fouet. Les soldats du Christ purent entrer profondément dans les lignes ennemis, le combat faisait rage et rien ne semblait pouvoir arreter les fervents fidèles de Dieu.
A peine les soldats à pied avaient-ils rejoint la bataille que déjà les lithuaniens s'enfuyaient, retournant dans leurs sombres forets.


Bien vites les dernières troupes lithuaniennes restantes furent piétinées par la force incroyable des forces chrétiennes qui en ce jour avait réussi avec l'aide clair de Dieu à libérer la ville de Riga de l'étau paien. Mais meme si la ville est à présent libre, nombreuses sont les forteresses et cités à attendre la meme aide car la guerre de Livonie est loin d'etre achevée...
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